REISE, REISE… Voyage, voyage… Sniper… toi, l’empereur d’une époque ! Comment t’oublier ? D’un simple regard, tu savais. D’un simple geste, tu anticipais et d’un mouvement félin tu interceptais. Est-ce l’adage des grands champions ? Sans doute, car si dans tes veines coulent des années de sélections, ton patrimoine ne saurait mentir, que dis-je ? Tu es la force incarnée, la brutalité souple, le chaînon manquant entre le spartiate et son cerbère, bref « l’athlète idéal » ! Pour ceux dont moi, qui eurent l’extrême privilège de te voir à l’œuvre, une seule réflexion illumine nos pensées : où pourrions-nous retrouver un client de ta trempe ? Repus de cet aphorisme, il nous faut revenir à la réalité, certes Sniper comme les masqués de ton Catheric de clan ont cette touche si particulière que l’on nomme « unique ». Alors, soyons clair, nous attendions cela depuis plusieurs mois et enfin, les prémisses d’un printemps se glissent à l’horizon. Ouf, nous appréhendons les beaux jours et tel l’effleurement d’une dernière bataille, la grisaille se dissipe. Il est très tôt et selon un rituel programmé, tu devines les instances de ton équipier. Calme et serein, tu guettes le moindre geste, l’infime indice, voire la plus hermétique tentative qui apporterait une réponse à tes attentes, du moins à la plus tenace : quand, allons-nous au terrain ? Il n’en faut pas d’avantage pour que Stef t’indiques l’accès de la voiture et là, tu jubiles. Ton élément c’est l’action et pour un Malinois qui se respecte, il n’y a qu’un chemin, celui de l’honneur ! FEUER FREI ! Je caracole de zig en zag, mes haltes successives n’altèrent en rien ma joie de déboucher sur Gaillac, bon sang, quelle magnifique région. De routes en sentiers, me voilà trébuchant sur un étonnant complexe, me serais-je perdu ? Stade de foot, cours de tennis, parking, gazon anglais, où suis-je ? Mais tu es à bon port me laisse entrevoir deux bras qui s’agitent à 50 mètres. En effet, à l’ombre d’une solide charpente se dresse un endroit que j’affectionne particulièrement « un Ring ». De toute beauté, celui-ci se veut décoré tel les halles de Rungis, les hurleuses de poisson en moins… Plus sérieusement, le thème étant le marché : les étals étalés déplient et détaillent des étoiles qui détalent sous mon regard d’estivant estimant, que pour une star on n’en fait jamais trop ! En bref, à quelle heure on attaque ?
Les travées d’un échelon 1 aussi fugace que couillu dérident quelques lèvres, les sourires sont de mise et j’espère que les faciès illuminés le resteront. Voilà c’est parti : d’emblée, on note une bonne entame des compétiteurs. Nos amateurs sont motivés et seul « l’en-avant » de Coyote et de Virgin sont à revoir. Pour le reste, un biz par ci, un buz par là, ouais pas de quoi se fabriquer un ulcère. Dans la partie « saisie », le scénario est identique : 1 rappel sup à la défense pour Yann, quelques coups de dents pour Baya et la totale pour Anis et Virgin. L’ensemble du parcours fut agréable, il ne reste plus qu’à grappiller de menus points (surtout en AG) afin de fortifier le capital niveau 2, no problemo ; nous sommes confiants ! Mondio I – Podium. |
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STEIN UM STEIN ! Le mur se construit, il est clair que pour la catégorie intermédiaire, c’est une autre musique que dessine Mr le Juge Dominique Piton sur la partition de nos envies. Le concours passe la seconde et d’un coup, l’ensemble devient nettement plus chaud… Les 2 HA « Rémy Morvan & Stéphane Tedesco » vont accélérer le rythme en proposant une face artifice (bouteilles & banderoles plastique) joviale, une sacrée belle défense (à coup de laitue et de scarole pas fraîche) et surtout une recherche (une cache arborée en pleine nature tout en étant sur le Ring) hé hé, splendide. A ce petit jeu, il est logique d’applaudir quelques pointures et ??? Bep en prend immédiatement bonne note et je dirais même que l’athlète de Thierry Lepellec délivrera un parcours exceptionnel : jugez plutôt 281 sans en-avant. Certes, un tombé d’objet (une botte en caoutchouc), 2 mâchonnes, 2m de fuite et 2 TAL, OK du beau boulot ! A ce niveau, il faut absolument s’accrocher et nous trouverons de magnifiques circuits parsemés évidemment de fortunes diverses. Pour Claire et Surf, la défense sera fatale (dommage car le reste est vraiment bien), Franco va démonter franco de port « absence & appâts » en battant même le record du TAL de Zorg. Ouf, afin de calmer les chevaux, saluons un pro : Fabrice Basuyau nous présente Astrid-Queen une Malinoise de son élevage. Une OB traditionnelle étale un écart à l’en-avant, une position loupée poussée par une avancée de 3 mètres, un accro à la haie et hop… gouttons aux joies du carton. Belles entrées, bonnes prises, quelques mètres de fuite et basta 274 points et Championne CAT2 svp. Comme je le souligne en début de paragraphe, il y a un fort potentiel dans cet échelon. Nul doute que la relève est bien drivée, je pense évidemment au Malinois d’Eric Carniel, qui hormis un pedigree type « Gun – Haggler », nous délivre un fulgurant parcours. Y a pas photo : Ultron carbure au mégatron et ça poutre chantmé ! D’accord, je freine mon langage de Djeuns, pour affirmer que le gaillard déboise mémé dans les entrées… un loustic à surveiller comme du petit lait sur un brasero, yes 284 aujourd’hui, ce n’est pas mal du tout. Quand pense l’organisateur ? Philippe bonjour, comment as-tu eu l’idée d’organiser ce jubilé ? Philippe Andron) Nous tenions à ce que Sniper arrête sa carrière sur un vrai bon truc et ne voyant rien se déclarer dans sa régionale, nous avons postulé pour son jubilé. L’idée m’est venue lors d’une discussion avec Eric Cavaillé, je lui ai tendu une perche qu’il a saisie (rire). Plus sérieusement, nous voulions lui souhaiter, tout simplement une belle retraite. Si je te pose cette question, c’est que de prime abord, tu es plutôt un Ringueur ?
C’est d’ailleurs, le premier que tu organises ?
Ce qui m’a surpris en accostant près des terrains, c’est l’agencement. Le Maire fait partie de ta famille ?
Puisque tu en parles, au niveau compét, tu as organisé la dernière sélection d’HA ?
(je le coupe), tu as les structures ?
Mondio II PODIUM. |
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NEBEL Les brumes du petit matin nous acceptent en oraison, une ultime prière, que dis-je une ode au Prince du Fight, au King du Style à l’enfant terrible des Rings enfiévrés ! Snip the Snap se tient à 2 mètres de moi, ses pattes robustes sont scellées sur un banc de pierre. Il est à demi cambré, son masque brûlant scrute un nouvel édifice et tandis que la sagesse illumine son regard… le jury déchaîne les enfers ! Un parcours Himalayen, digne d’un championnat des plus balaise se profile à l’horizon. Une masse de finalistes et de conducteurs (hyper) préparés, dont le général en chef Claude Munto, ont tenu à être présents. Allez, ne tergiversons pas : Entrée et marche au pied, suivie d’un appât en présentation ouvre les hostilités. Puis, sans mollir l’équipe se déplace sur une petite dizaine de mètres entre 2 maléfiques brouettes pour le rapport de l’arrosoir enchanté. Sur cet exercice, nous avons tout eu : par la anse, le goulot, sur le flanc, à la subtil, à la Brutus, avec ou sans remise, donc l’objet idéal pour l’entraînement. On repart, direction traversée du désert pour l’en-avant, enchaîné d’une absence couchée avec le démarrage sournois d’un souffleur à feuille. Diantre, ce tracé n’est-il point gravé dans le grimoire d’un mage abonné à « Ecolo-Mondio magasine » ? La question reste en suspend, tant les positions (départ debout) seront énoncées par le maître invité à s’asseoir sur une trône moyennement confortable et franchement casse-gueule. Enfin, pour les survivants : le petit bois sera en diagonale avec fouille dans le potager magique. Alors que nous commençons à déplorer quelques bulles (notamment sur le rapport), un sévère peloton prend l’avantage : Santana s’en sort rudement bien, Rep ne dérape que sur un dépasse 1er angle et un avance de 2 mètres aux positions. Viktor sur un crochet à l’en-avant, accentué d’une mise en place supplémentaire aux positions et d’une légère impatience à la quête. Ulk réussit une belle perf, mais une nervosité exacerbée va lui coûter 5 points (il est vif le bestiau). Ana traîne par 2 fois, réfléchit sur le petit bois (1 tombé + 1 mâchonne) tout en gribouillant l’en-avant (-4). Val dépasse, s’écarte et se déplace sur le départ de la quête. Zorg en forme « crochète, avance, mâchonne et commence à s’énerver ». Son camarade de club, Tsigane en brave tenant du titre, donne l’exemple « dépasse, mâchonne et repose l’objet au pied du maître » et le winner is : Stryke qui ne laisse qu’un point sur la marche… Voyons les sauts : On note 3 maxis, Ares & Tequila font le forcing et par la même occasion, récupèrent leur boulette à l’en-avant. Uron par 3 franchissements hyper techniques, restaure son rapport d’objet, quant à Axo, Ulk, Val et Tsigane, ils plombent un magnifique « 15-19-20 » avec pour les 3 un touché à la haie. Le match est méchamment relancé.
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ICH WILL ! Prenons place dans l’arène avec une intervention à l’artifice plutôt coriace. L’ustensile est immense, en mousse rectangulaire et bien entendu traversable. L’HA le propose en 2 tiers (donc visible), puis l’impose en obstruction directe, très belle action que celle-ci avec une mention à notre juge idéalement placé. Rémy sortira le grand jeu en éprouvant « entrée, courage et combativité de chaque gladiateur ». La seconde « sur obstacle » effectuée par Stéphane révèle également la capacité de chacun, bâton armé il va solliciter un fougueux barrage tout en bataillant franchement dans la prise. Néanmoins, Ana, Val, Uron Tsigane & Stryke totalisent 2 x 50, respect ! Arrive juste après la face artifice, « le clou » de la journée : la recherche. Dissimulé sous une couverture camouflée et bien entendu excentrée, Stéphane ne remue pas le moindre orteil. L’épisode va ravir les amoureux de suspens et les friands de surprise. Tandis que Santana fait le show, un accompagnement dantesque débute entre obstacle et plein champ. Après une pincée de « ne découvre pas », Stryke - Zorg & Viktor trouvent en empoignant l’Apache, comment dire ? Sportivement... Ares rapide & technique déchire sur l’escorte, Tequila & Uron se font subtiliser une poignée de mètres, il ne nous reste plus qu’à applaudir Ana la renarde qui emmagasine 39 points sur 40 au prix d’un travail fabuleux. Filant comme le vent, elle va fouiller, aboyer, patienter et interpréter en quasi anticipation le plus perfide mouvement de l’HA. The big classe ! La défense (seconde difficulté) est un petit bijou « entre vaudeville & comique primeur ». L’approche sera au souffleur, l’HA (Stéphane) tend l’appareil en une brève discussion, salue et disparaît. L’autre (Rémy) se tient à proximité en ramassant ses légumes, il demande à l’équipe de nettoyer, puis de l’aider à ranger et enfin, de transporter un cageot. Subterfuge intelligent, vu que le stratagème les oblige à se rapprocher dangereusement de la fameuse cachette (du Mondio 2) où est planqué Stéphane, mais… car il y a un gros mais : un jet d’eau se met en branle dès que le maître franchit la zone et reconnaissons le, « nous nous sommes bien marrés » ! Entre, les surpris, ceux frappant l’Apache jusque dans sa tanière, papa inondé, maman sous la douche et agression en quinconce, il y a eu du sport. Sans oublier que le dit « caché » est le bon, donc comme d’hab, les bulles vont fleurir. N’empêche que Stryke, ainsi qu’Uron vont démonter l’assemblée d’un 30/30 sec (pas tout à fait) et net, chapeau bas. Troisième difficulté technique « la garde d’objet ». Stef avait apporté la mythique guitare sur pied de la finale d’Ingré offerte et dédicacée par tous les finalistes. De ce fait, nous aurons 2 passes dans un esprit French-Ring et une à la sulfateuse. 2 têtes à Toto (soit 4 zéros), beaucoup de 25 et « 4 maxi » dont : Teno, Stryke, Uron et toujours Ana qui récolte une option savourée d’applaudissements. Toutefois, l’épreuve des fuyantes, surtout de la fausse va déterminer énergiquement le vainqueur. Celle-ci « archi classique », malgré (ou à cause) d’une accélération prématuré de l’HA, ne fera guère de dégât, en bref, ceux qui devaient mordre… ont mordu ! Idem, 4 bulles vont s’évaporer dans le ciel bleuté du Tarn et hop, Miss bigoudi fait le forcing, Uron récolte un petit tarde suivi d’un blocage à 4m. Ana 30 et rappel à 5 mètres. Val & Tsigane 30 stabilisé d’un « arrête » à 4m, Ulk 30 et un bonus à 3m, Stryke 1 tarde récupéré par un « dessus » complètement kamikazé, mais fort bien vu. Bilan des courses, le concours s’est joué entre le tenant du titre et les finalistes. Cependant, le champion régional n’est autre que le fameux Stryke du Puis de Wolf, classé 4ème au général. MONDIO 3, PODIUM : Félicitation à Mr Laurier & Ana pour cette belle victoire. Les conducteurs sont plutôt fiers d’assister au der de Sniper, mais au fait, pour vous qui venez de remporter cette rencontre, qu’évoque ce nom ? Christian Laurier : au-delà du nom, il y a l’équipe. Alors, je dirais un chien fantastique doté d’un grand champion. Nous lui devons non seulement beaucoup en tant que tricolore, mais aussi pour l’essor qu’il a su véhiculer, c’est une référence, et son maître, un garçon de grande valeur. Je terminerais ce chapitre en félicitant Bep, pour avoir tracé le circuit 3 avec passion & talent. |
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MEIN HERZ BRENNT ! Une haie d’honneur se dresse, telle des pieux protecteurs faisant barrage à une éventuelle agression. Fier de leur champion, celui-ci doit être choyé jusqu’au-boutiste ! Le Team Sudiste entre en scène sur un tempo martial du groupe Métal Allemand Rammstein. Quatre baffles rugissent un Riff de guitare tout à fait à propos de l’instant solennel. Les serpentins épidermiques se font vicieux, une frange glacée chevauche nos sens, la moindre parcelle émotionnelle est épluchée, le plus infime poil est au garde à vous, c’est bien simple : l’ambiance est plus électrique qu’un éclair frappant un paratonnerre ! L’adrénaline palpable se répand sous les pas d’un ange masqué et nous voilà tous aux taquets pour 45 minutes de folie pure… Une brève présentation de la Dream Team « Stefan Gaspard – Sniper du Cami de Cathéric » sera proclamée par mes soins en compagnie de son éleveur. Il y a énormément d’émotion, le public ovationne son champion : Show must go on ! Une marche au pied au cordeau déploie l’entrée en matière. Appât, présentation, absence, positions sans même bouger une oreille. Le rapport sera plié (dans les 2 sens du terme), Sniper fouet levé s’amuse du circuit, car rien ne semble l’émouvoir. Certes, en-avant à 200 et petit bois de rigueur affichent une couleur qui sent bon la perf ! « Haie, fossé, palissade » égalent parcours de santé, quant à la première face, comment dire… heu, nous avons bien fait de le garder pour la fin, étant donné qu’il a littéralement pulvérisé l’artifice. La prise est surpuissante, la cessation aussi, allez, passons à la recherche. Pendant, que nos amis disparaissent, un tout autre scénario se met en place. Ce n’est pas un, mais 2 Apaches calfeutrés sous la couette. Que font-ils ? Houlà, il s’agit de ne pas remuer mes gaillards, car le viseur infrarouge est sur play. En une fouille appliquée, Sniper les débusque et à la surprise globale, il se fait un devoir d’escorter les 2 lascars succinctement (et surtout sans les lâcher du regard) qui joueront le jeu jusqu’au bout. Chaque parcelle sera utilisée pour ruser le Malinois, chaque millimètre de terrain va servir de justificatif pour fuir et ??? Rien, quedal, basta, Sniper va leur ramollir les guiboles dans la pure tradition du style. 100 fois oui, de te voir sortir… mon cœur brûle. |
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OHNE DICH ! Un grand bravo aux Apaches pour avoir jouer le jeu, un méga merci au juge pour nous avoir offert une chouette récréation et de sincères félicitations au public pour tout ce week-end de fair-play et de camaraderie. Le calme revenu, j’ai juste le temps d’aller saluer l’ami Philippe qui, pris de toute part, acceptera une nouvelle salve de questions, heu… pour la route.
Pour Stef, vous avez vraiment assuré, ça c’est cool ?
En 5 volumes ?
Alors qui dit Sniper, dit Cami de Cathéric et donc Eric Cavaillé. Il y a beaucoup de ses Malinois dans cette régionale ?
Il est très apprécié en général, mais ici plus qu’ailleurs ?
En parlant d’importance, tu as une sacrée équipe de Killers ?
Et donc content de ce week-end ?
Cher(e) s ami(e) s, une page se tourne : nous étions réunis pour honorer la dernière pirouette d’un monstre, d’un hors norme, bref d’un grand champion ! Pour cela et afin de réceptionner le sens profond de mes propos, il est nécessaire de se replonger quelques 20 ans en flash-back. Nous sommes en 1987 à Tournai et le 1er tournoi international bat son plein. En ce jour béni, l’élite cynophile de la planète n’a d’yeux que pour un cheminement concret et sélectif. Les Ultra, VSD, Rep, Sorbonne, Vicco, Virus et autre Snap cassent la baraque, le feu vert étant donné. Les utilisateurs de l’époque sont unanimes : « Oui, pour faire du Mondio, il faut des tripes !!! ». Certes, une obéissance réaliste, une identification d’objet, des sauts performants conjugués d’interventions en situation extrême parachèvent un rêve devenu ENFIN, réalité ! Naturellement, pour approcher un programme aussi complexe, il faut maîtriser son sujet. En effet, le Mondioring n’est pas pour tout le monde, car si tu n’as pas l’esprit requis, tu ne peux réussir, voire comprendre les rouages d’une discipline aussi riche. Néanmoins, une poignée de braves va travailler, s’accrocher, s’user et récolter le titre suprême. Qu’ils se nomment : Ugo de la Fontaine du Buis, Huby du Domaine St Loup, Oscar de Vulcain ou Sniper du Cami de Cathéric ! Nos guerriers de l’artifice ont toujours su faire rugir la Marseillaise à en faire saigner nos cœurs. Aujourd’hui, la résultante d’une révolution vouée à l’adaptabilité intronise un mastodonte qui, après avoir tant donné à la France, se retire… Qu’il en soit remercié, choyé et jamais oublié. A l’heure où ses entrées fracassantes résonnent encore à mes oreilles, au moment où Stef, les larmes aux yeux me dévoilait les secrets de son champion et enfin, au souvenir que nous, les experts de races, garderont de ce fabuleux Malinois… Je ne rajouterai qu’une chose : le mot « Freestyle » fut inventé pour lui ! Pour Sniper bonne retraite & hip, hip, hip… |
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RESULTATS DU CHAMPIONNAT REGIONAL DE MONDIORING 2009. Ana de la petite renardière à Christian LAURIER 379 pts MONDIO 2. |
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