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Ami( e)s cynophiles, camarades Ringueurs : Bravo et merci ! Oui bravo, car malgré le litre d’essence presque aussi cher qu’un verre de tord boyau (une honte quoi…) vous êtes venus et bravo, parce que ce fut la fiesta et quelle fiesta !!!! Jury de feu, HA aussi sportifs que techniques, sans oublier une ambiance chaleureuse, sympa et Pro-Cabot. OK, nous sommes dans le nord, OK les Chtimis sont possédés par la prise, le rodéo et le beau boulot et OK, la finale restera quoi qu’il advienne, le moment de vérité ! Mais, car il y a toujours un mais, nous pensons également aux potes qui, à cause du temps, de l’argent, de la famille ou d’une santé précaire n’ont pu faire le déplacement. Alors pour vous, les Chienpluscynofans, nous nous sommes sentis dans l’obligation d’envoyer la cavalerie… En espérant vous faire vivre cette Coupe de France comme si vous y étiez et pour les chanceux qui n’ont pas hésité à remplir le stade, voici une chtite piqûre de rappel. La Coupe 2008, c’est : 41 esquives, 69 secondes de tarde à mordre érotique, 56 coups de dents ou tarde à décrocher, 161 mètres de fuite, 28 mètres de déplacement d’objet, une besace de décrochés rapides et une petite trousse de commandements non en prise ! Mouais, pas mal… Alors si nos prévisions te séduisent récupère un Touquet to ride, c’est parti… |
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Acte 1 : Nous étions à pied d’œuvre de bon matin et déjà, les fans décorent les tribunes. Croyez moi, ça ne rigole pas ![]() ![]() En bref, du Ring comme on aime. Top départ ! |
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Le Shérif Gary Bruel ainsi que le Marshall Clint Tisserand, parfaitement escortés de leur adjoint Wyatt Job accueillent les con
Sur ce, passons au deuxième électrochoc de la matinée. Voici Aurane de la Malfosse, unique fifille de la Coupe (bon là, personne ne s’inquiète sur la descendance), la bougresse nous a planté un 393 en plein cœur et en sélectif, que hum… ça saigne encore : Haie 20, malheureusement comme Ulko, le fossé et la palissade ne seront pas au max. Pas grave, car le plat est terrassé à 98 %, les bâtons sont somptueux, la valise sublime, la recherche stratégique et la conduite aux petits oignons. Dis-moi J-J comment as-tu trouvé l’ensemble de Aurane ? |
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D’autant plus que Shogun fait irruption, gonflé à bloc, les blessures à répétition ne sont qu’un vilain souvenir. Tony domine son sujet, n’empêche qu’il doit se poser une ribambelle de questions après le passage de Sieur Yvon !!!! 372 aujourd’hui, va falloir aiguiser le sifflet et déblayer la mise en place. Houlà ! 60 points de saut à la Cosaque, d’emblée ça calme… Suit un trainouille (muselée) au deuxième angle et basta. La fuyante sera méchamment culbutée, gloutonnée et un peu trop appliquée. Shogun cherchant la prise « fond de tronche » va se retrouver en porte à faux et c’est 3 pions qui s’envolent ! La valise, quant à elle, nous fera découvrir un Malinois robuste, gourmand et attentif : 1er sur l’objet, 2ème Eric cherche le déplacement (qu’il prolongera dans une action de toute beauté), mais Shogun anticipe. 3ème l’Apache virevolte et propulse le panier sur 3 mètres : Dans pareil cas, le sang Boscaille refait surface en pétrifiant la guibolle voracement jusqu’à 4 mètres. Le Team Marseillais s’éponge copieusement le front et place son arme de destruction massive pour une fausse qui pèsera lourd dans la balance. Haï 20 points disparaissent, mais le spectacle est aux taquets : Shogun déboule dans la cachette en fracturant un longeron, puis bovine sévèrement le cuisseau du Lolo sur la 2ème fuite. Le transport, quant à lui s’avère plutôt Old School, idéalement placé, il soulève par intermittence l’HA qui tant bien que mal, récoltera 2x2 mètres + un macaron (sur la der) de la taille d’une peinture de guerre sur la cuisse d’un mustang. Vous vous en doutez, le fils de Tyson est loin d’être détendu pour l’attaque de face, ce qui obligera Laurent à une esquive des grands jours. A peine remis sur les amortisseurs, l’HA plonge en un « repoussé-barré » nécessitant un effort bestial de la part d’un Shogun récompensé d’un 25,5 après réception virulente du tomawak. Très applaudi, le Cami de Cathéric finira en roue libre sur 2 actions, d’une limpidité cristalline, Stetson bas ! |
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La matinée bat son plein, le public est radieux et nous flashons comme des malades nos stars masquées. Cette finale a un air de croisette, je n’ai d’ailleurs jamais vu autant de paparazzis sur un green. Le Ring récupère ses gallons de leader, et ça c’est vraiment cool. Pour fêter l’événement, rien de tel de battre le fer tant qu’il est chaud. Entre le marteau et l’enclume, voici Thor. Attendu comme le loup blanc, ce fils de Primo du Calvaire aux Acacias enchaîne les finales avec une éternelle volonté d’outsider. Hormis la haie, les sauts ne s’engagent pas au mieux, fort heureusement une OB d’enfer remet les compteurs à zéro. Bilan des courses Jean-Marc débute le mordant avec – 8,5 (un demi pour un s’écarte à la suite en laisse), puis, fuyante puissante (un rappel sup) « faut ce qui faut », panier acrobatique avec une 1ère prise dessus, suivi d’un déplacement particulièrement bien vu de notre AA (Apache Auvergnat indemne de dysplasie) arraché sur 5 mètres et re-dessus ! Gros suspens, big applaudissements pour 2 athlètes au sommet de leur art. L’ovation accompagnera Eric jusque dans sa sortie, tandis que Laurent (récupérant le bâton) part à toute blinde se positionner au son d’une musique Wagnérienne. Thor s’élance à son tour, les 2 lignes transversales sont bouffées en un clin d’œil et… en une fraction de seconde, le Malinois s’éjecte ! Perso, je la vois dessus, que disent nos représentants de l’ordre ? 2,50 m crache la sono !!! Ouais, y a pas photo, elle est belle. Pendant que je note mes remarques, le gaillard fouille le terrain tel un dément. La cache positionnée à droite de notre campement demeure bien planquée, de plus, l’équipe devait redescendre à l’opposée, ce qui empêchait une découverte au vu. Néanmoins à ce niveau, tous ont trouvé royalement. Les 2 fuites tirées (les dernières snif) n’auront aucun incident, seul la 3 et 4 comptabiliseront 2x2 + 1 Cd Dent durant l’escorte. Vous allez me dire, c’est le tarif syndical ou quoi ? Absolument, car si l’Apache arrivait à positionner son bras sur un demi tour, sa vélocité ajoutée d’une obstruction diabolique l’emmenait rapidos à au moins 1m50, voir 2m50, d’où l’intérêt de travailler les saisies rapides à l’entraînement. Cependant, quelques aficionados de « la prise instinctive » en sortiront grandis (génétique quand tu nous tiens). Pardon pour cet intermède, revenons à Thor avec THE face calibrée : Laurent le guette limite en biais, indique l’appel et en une fraction de seconde « place le coup du torero »… Reconnaissons qu’hormis un style fluide, celui-ci est d’une efficacité redoutable. |
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Wouuuf, le missile file telle une torpille, l’HA le carbure à l’ancienne et c’est 2 secondes qui s’évaporent (+ la répercussion sur la fausse). Thor est d’excellente facture, ce qui rendra la bataille épique dans ses proportions, Défense 30, GaF 29,5. Soit un 360 des familles…
Ouais, c’est superbe. |
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Il devait arriver, ce qu’il arriva et c’est donc, en fin de matinée que les ulcères vont s’ouvrir. Le premier Virus étant au portail, nous allions souffrir de la charge du Capitaine Hoareau. Visiblement détendu, François irradie l’édifice, son enthousiasme expédie le Plateau Champenois à 60 points d’altitude ! Cette récitation va se vérifier sur l’OB avec un insignifiant traîne (1er angle suite en laisse) et 1 amorce + une relance à l’en-avant qui n’entacheront guère une feuille quasi vierge. Je ne sais que rajouter sur les bâtons, tant la justesse du bolide est hallucinante ! Prenons la face où Virus anticipe l’esquive, coupe la trajectoire en agrippant l’intérieur du bras, c’est du grand art… La garde d’objet vaudra elle aussi son pesant de sucre d’orge avec une plongée à 2m, dessus et 1,5 mètre. Pour grappiller quelques pions, il faudra un Geronimo des grands jours qui ne pourra rien en sortie de cache, mais n’écoutant que son courage, subtilisera 3 bons mètres (la vache, superbe action) + 2 autres dans la foulée. Adepte d’une bonne stratégie et voyant le chien hyper mis (en fait, il pousse sur l’arrière), il bifurquera en un demi tour en infligeant la même sentence qu’à Thor. Si la vivacité de l’Apache ne fait aucun doute, celle de Virus se catapultant pleine épaule sur une fuite mémorable fera lever la foule. Un mouvement, d’une telle fluidité, ne peut qu’émaner d’une grande préparation. J’en veux pour preuve la dernière attaque où Eric tentera l’impossible en arrachant 1 seul mètre étalonné d’une débauche d’énergie transcendantale. Quel circuit les amis, QUEL CIRCUIT ! Le panneau lumineux annonce 377, 575 avec « conduite, symbiose et athlète au top », absolument magnifique ! Dis moi J-J, pour contrer un tel Virus, que faire ? - En envoyer un autre à poil long. Si l’on regarde attentivement son cheminement aux sélectifs, il est un prétendant au podium. Particulièrement régulier et parfaitement drivé, voilà le type même de BB charismatique. Son seul défaut, si c’en est un ? Résulte dans son côté fantasque, nous, on adore… Marc un peu moins (rire)… |
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Sûrement, car le coco est un joyeux drille. Déjà finaliste, le tenant du Ch Wasels, Virus du Musher démarre sur les chapeaux de roues : 59 de sauts à cause d’un loupé à 4,50 et 3,5 de perdus au plat (s’écarte + amorce retour à l’en avant). Pas de quoi fouetter un chat et BOUM ! 30 de fuyante, 25 de valoche, fausse stoppée à 3,50 enclavée d’une superbe recherche. Le nounours s’éclate en administrant 2 secondes de reprise de mordant, Marc comme dis J-J, un peu moins… Super bouillant, Virus bataille comme un mort de faim sur la face. Parti dans son élan, il va même changer de prise, exploit qu’il réitérera sur la défense. On ajoute un commandement de mise en place supplémentaire et voilà, des petits points éparpillés qui vont en faire un gros. Le match se finira sur une Garde au Ferme où Eric se fera rectifier pleine veste, puis parti dans son élan, il se vengera en lui mangeant 2m + 1m. Bilan des courses 367, 587 avec la queuqueue en panache. Loin d’être perturbé, Virus nous déballera quelques figures imposées (dont lui seul a le secret) dont une mise en place en marche avant, suivie d’un rampé en marche arrière que ne renierait pas un couguar des Montagnes. C’est avec une big pensée pour Mario the Boss Pessel (qui travaillait en ce week-end) que le Team Chtimi s’effacera avec le sourire, quand : Tiens, voilà le coup de gong libérateur… Une légère pause sera salutaire, néanmoins les 6 heures d’attente pour avoir une fricadelle m’oblige au Bison-beurre. Ce n’est pas grave, car il nous faut restituer un heureux bilan. Je visualise les clichés en vérifiant mes notes, ma foi ce 1er quart temps révèle une matinée riche en belles actions et pour le moment, le parcours d’Uppercut, de Virus, ainsi que la conduite fabuleuse de Sébastien Corbin alimentent le débat. Dans pareil cas, le temps passe très vite… |
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En parlant de voyage, en voici un qui ne se déplace jamais gratos. Il m’avait subjugué à la nationale d’élevage 07, alors qu’il n’était qu’en 2. Son score de l’époque avoisinant les 297 sur 300 nous avait laissé songeur, immédiatement basculé en 3, il atterrit à la finale : 59 de sauts pour un grignote 1 mètre au fossé ouvre les débats. Un traîne au départ de la suite en laisse et un avancé de 0,5 aux positions les referment ! Quand on sait que la partie mordante reste sa spécialité « Tous aux abris » : Azar se rue sur sa victime avec un 30 de fuyante, puis se défoule sur la valise (2 + 2,5 + 2). Nous restons bouche bée sur la conduite de Christophe Malsert qui réalise un sans faute, jusqu’à… l’arrêtée qu’il stoppe dessus, c’est énoooorme ! Le fils du Keiser Reiser est flamboyant, comment ne pas se rappeler papa dans un tel moment ? Je sors de ma rêverie en entendant l’aboiement du lascar, 1ère fuite et seconde « 2x 1 mètre », l’Apache est à peine désarmé que le spectacle commence. Azar le bloque et Laurent ne fait pas ce qu’il veut, puisant sur sa vigilance, il réussira (mais de quelle façon ????) à lui soutirer 2 mètres en une décision cataclysmique ! La fin de l’escorte s’achève devant la tente (à 2 pas de nous), ce qui est bien pratique pour redémarrer sur la face. Le Clos Champcheny frôle la toile et c’est à peine les pattes au sol, qu’il a déjà passé la seconde. Mordu dans l’instant, ça bâtonne, ça menace, ça temporise et ça fouille dans une version FORT ALAMO ! Mais, au coup de sifflet, Azar est de retour ! On ajoute 30 de défense, 28,5 de Colt cobra et l’on se dit que pour sa première finale, il n’hésite pas à titiller les anciens… |
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Pas évident de s’installer en conquérant après une telle Démo, néanmoins J-Y Vaiasuso en a vu d’autres. D’ailleurs, il affiche les maxis d’entrée et Virik se fait un devoir de les avaler « cul sec ». Le plat sera du même acabit, hormis un traîne (suite muselée) et d’un avancé de 0,5 aux positions, il n’y a rien à dire ou plutôt si… La conduite très personnelle de Jean- Alors, est-ce dû au coup de semonce des 380 imposé par le G6 ? Ou au vent parti se rafraîchir en bord de mer ??? Une chose est certaine, il fait chaud… Le stade est bondé et il y a une queue longue comme un jour sans pain de l’autre côté des barrières. Diantre ? Je tourne la tête en m’imprégnant de l’atmosphère : Le Team N°1 Udex/S. Brière envahit la pelouse, encerclé d’une horde de supporters survoltés. Un autre, Jean-Yves (Reguer) nous speatche ses états de services sous un concert de klaxons, puis les applaudissements auront raison des hurlements, ce qui amènera Steph à descendre de sa stèle pour démarrer un show que plus de 2 000 personnes ne risquent pas d’oublier ! 60 de sauts, accusés d’une facilité déconcertante, une OB entachée d’un moins 0,5 (un dépasse au 2ème arrêt de la suite en laisse), mais surtout une beauté synergique, un déploiement d’attitudes aussi millimétrées que spectaculaires, plaçaient les puristes que nous sommes au bord du Nirvana. |
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Fuyante au pilori 30, valise au chatterton 1m, 2m et 1,50, arrêtée à 3 mètres et recherche à 36. De plus, arrivant avec le dossard qui fait peur, il allait de la survie de l’humanité d’éplucher son parcours. Donc, les 2 fuites de caches sont lustrées à la peau de chamois, la troisième un tout petit mètre et 2 sur la der. Ensuite la face : Parti avec la rage d’un spartiate, Laurent n’a qu’un choix, celui d’enquiller l’esquive de sa vie… Bonne pioche, mais pas la peine d’armer ton bâton, tu es déjà goinfré ! 29,50 ajouté d’un minuscule tarde à défendre (bien joué Laulo) sur la défense et d’une spéciale Issarte à la garde au ferme, nous emporte vers un parcours à renvoyer un intégriste du tarde à mordre revisiter son « Ptit 3 illustré ». Udex vient de bénir le green… Et quand je dis Bénir, je devrais plutôt parler d’exorciser, houla chers amis, s’il y avait un démon, un anti-saisie, voire un ennemi de la prise chirurgicale : Il a dû repartir dans son univers avec des bagages bordés de mirettes !!!! Le Team lavallois vient de nous défragmenter un restant de neurones, c’est bien simple avec eux, plus besoin de secrétaire, les notes maxis s’inscrivent toutes seules. C’est EFFARANT à un point tel, que j’ai dû me baisser pour voir si ses pattes touchaient bien le sol ! Dans un cas d’extrême urgence, je suis obligé d’inventer un mot et je pense qu’il n’est pas trop fort d’affirmer que le Malinois de Stéphane Brière a dévoré la Coupe, les HA, le circuit, nos cœurs de Ringueurs, les spectateurs et l’édifice avec une Udextérité peu commune. Veni, vedi, vici… Si si et y a pas photo ! |
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Nous le savons aujourd’hui Brandon Boutonnet alias Buffalo Bill's a pris un abonnement à vie sur la finale Ring. Loupée de peu en 07 (mais, il avait conduit S’Léon), il revient cette année avec père et fils. Très détendu, son parcours sera un enchantement, d’emblée 60 aux agrès, l’OB sera l’une des plus belles, où Vito des Bergers d’Ecouve n’hésitera pas à mixer style (mise en place et placement extraordinaire) à l’efficacité, puisqu’il ne perdra pas un quart de demi point, top de chez top. J-J, Cathy et moi suivons avec le plus grand intérêt son circuit, car arrivé sur une fuyante bloquée à 30 sans le moindre accroc… Avouez que c’est FORT ! Même la valise « 2m, 1,5 et dessus » le destine vraiment dans l’élite, mais B-B sait que pour battre Udex, il faut arrêter à 1mètre ET ? Il stoppera en prise. |
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A cet instant, nous sommes tous malheureux pour lui, car son travail fut de l’ordre du surnaturel. Sauf que Bernard est un dieu du stade et c’est dans l’adversité que l’on reconnaît les vrais. Il va repartir, comme si de rien n’était pour une recherche aussi fracassante qu’héroïque (1m, 1cdent, 2m), puis relancer son bolide sur une face pointée à 29,5. Concrétiser sur une défense à 30 et boucler la boucle sur une garde au ferme à 28,5 (esquive + 1m). J’annonce 366 avec une fausse mordue, J-J prête-moi ton mouchoir ? Il y a de quoi… Il l’appelle dedans et à pleines dents. Bien souvent à ce niveau, ça passe ou ça casse. N’empêche que son parcours est excellent, allez sèche tes larmes, voici V’Usher. T’as vu la bête ? |
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V’Usher possède une belle tête de vainqueur, là-dessus nous sommes tous d’accord. Ses origines ne trahissent pas son gabarit et je pense que nous allons savourer un instant magique… 60 de sauts, une paire de trainouilles aux suites et une fuyante à 29 (because un coup de dents à déraciner un totem centenaire). La garde d’objet nous fera découvrir un Malinois appliqué (1,5, dessus et dessus), mais gourmand (se laisse entraîner sur 2 mètres en fond de tronche), ce qui obligera les Seven-Gringos (le G7 pour les intimes) à allumer un cierge juste avant l’arrêtée qu’il… mord pleine veste sans préavis ! Force de reconnaître que Jean-Pierre commande à 2m50 et qu’avec la vitesse de son Rocket-Dog, rien n’est simple en ce |
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