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STELLA, ELLE L’A ! |
Ce je n’sais quoi, que les autres n’ont pas. Elle a ce tout petit supplément d'âme, |
METRO, C’EST TROP ! |
Plus douce qu’une mélodie, plus cool qu’un Reggae et plus hard qu’un Rock. Cette finale fut tout cela à la fois, un énorme Juke-box en multiple panards que nos Dj’s en armure ont su mixer avec tact et justesse. Une sorte d’Ibiza en ovalise où 13 colosses casqués laissent place à une trentaine de Fire-Team ! |
Merci, les ami(e)s et à l’année prochaine |
ALEXANDRIE – ALEXANDRA |
En cette fin du mois de juin, il fait très beau, le voyage s’est bien passé, pas le moindre flashouillage routier et je suis d’attaque (non pas moins homme) pour vous faire vivre la finale en direct live. Ma mission est simple, il s’agit tout bonnement de vous télé porter avec moi sur le green. Attention, je vais tenter d’immerger vos esprits 1,2,3 partez : C’est à croire que la semaine ne s’est jamais bouclée. Nous sommes le vendredi après-midi et un monde fou se rue sur les buvettes. Fort heureusement, tout est déjà en place, le Staf organisateur a su détourner le plus infime désagrément et nous n’avons qu’à acquiescer du chef devant autant de professionnalisme. De plus, les stands sont à proximité ce qui laisse un droit de regard sur l’ensemble, heu… bien vu ! Pour les finalistes, un chouette parking accompagné d’une aire de promenade s’étend sous les arbres, quant à nous (la presse) un endroit spécial nous est réservé à l’ombre de la gigantesque tribune côté présentation. Croyez moi, voici le genre de détail qui fait plaisir, car tout le matos que l’on trimbale vaut son pesant de roudoudou. Repérage oblige, je cible les phases stratégiques et en 10 minutes, j’ai pris possession du stade. Celui-ci s’avère tout simplement sublime, « pelouse nickel et déco minimaliste » reflète le côté si sulfureux du RING ! Je flâne et j’imagine les équipes triomphantes foulant l’estrade, toute poitrine gonflée et dégoulinant d’amour pour son prochain. En clair, nos gladiateurs du rêve vont pouvoir se la donner XXL. J’attends l’ouverture avec impatience, mais pour cela, il faut d’abord que je trouve mon hôtel. Une bonne nuit ne sera pas du luxe et pourtant le tipitip de cette saloperie de réveil m’agresse de positivité… j’arrive à 6,15 heure et surprise, une petite brume et une petite brune et son complice sont à pied d’œuvre. |
Unik du Domaine d’Orca gambade joyeusement tout en récitant métronomiquement ses exercices : 59 de sauts (pour un raté palissade), un plat correct sous fond d’objets mâchonnés et hop, une splendide fausse à 3m entérinée d’un percute. Andrej S’Khra nous la fait à « là j’avance et je recule, comment veux-tu que je prenne une bulle« ? Tout simplement, en la jouant à la kamikaze et du coup 4 mètres ou 3 mètres 50 paraissent raisonnables. C’est d’ailleurs ce que feront ou négocieront la plupart. Suit une défense particulièrement subtile de Greg Pollet, une garde au ferme très classique immédiatement enchaînée d’une recherche méga fouillée par Andrej. Puis retour sur Greg avec une fuyante sans conséquence, une belle garde d’objet où il va systématiquement chercher à prendre le panier et ça, c’est toujours spectaculaire. Enfin, le parcours sera achevé par Andrej en une attaque de face. Sur cette forme de circuit « Technique & sans excès », Unik s’offre 29 de valise et de face, seule une escorte où « tarde à décrocher » et 3 mètres de fuite l’encastre sous la barre élogieuse des 370, mais 367,950 sur S’Khra-Pollet, c’est pas mal. Alexandra Bodeau peut être fière de sa saison et de son Unik, qui porte vachement bien son nom. Quant à Bibi, un petit café et banzaï ! |
V’AMOS A LA PLAYA… |
En avant, objet lancé, positions (C DCA CDA), insu, muselée, appâts, suite, vu et l’inoxydable absence couchée, dont je ne comprend toujours pas l’utilité à la finale, (la faire directos à la présentation, nous ferait gagner un temps précieux), mais bon… hormis ce soporifique instant C. nous sommes en phase d’un tirage fort sympathique et le prem’s à passer à la moulinette n’est autre que :
Hé hé ça ne sera pas la peine, l’ami Atos carbure l’Apache avant la frappe. Condamner « au max » pour rester en course, la garde au ferme = frisou. Andrej va subir la fougue d’un Malinois calé, aboyeur, vigilant jusqu’à la fin et débité que d’un modeste tarde à lâcher. Sans doute vexé, l’HA passe la seconde et nom de Zeus…l’escorte va redorer son blason. Plaçant Atos derrière, il va le gêner et d’un coup sec, se propulser sur quelques mètres. Puis, le retravailler devant avec un double repoussé sur les bras, c’est beau, efficace et athlétique. La fuyante et la valoche ne prendront que 2 pions et la face un TAL. Les dés sont jetés au suivant : |
Amos du Creux Thatcher entre en scène sous le fameux Vino Griego qui semble booster les spectateurs en émoi ! Les agrès ne sont pas au mieux avec un – 4 dû à un fossé récalcitrant, néanmoins Michel ne se déballonne pas en nous offrant une thierceline dont il a le secret. C’est clair qu’envoyer son chien à l’en-avant sans l’accord du juge, ça peut porter à confusion, qu’importe !!! Les voilà repartis dans un plat exemplaire ; une arrêtée sans risque va même clôturer cet épisode marquant… que nenni : une seconde thierceline va s’effectuer à la défense « conducteur commande avant la conversation », honnêtement je n’ai pas tout capté, n’empêche que Michel grave son nom dans l’histoire et à ce niveau là, ce n’est pas rien ? Certains diront « quel dommage » car hormis la valise où Greg déplace le panier sur 7 mètres, le reste demeure bien cool ! Qui a dit l’essentiel est de participer ? |
VOGHAR AU GORILLE |
Attendu comme le Loup Mutin Blanc, Voghar au type Deux Pottois (très prononcé) ne manque pas de peps (hors Ritta, soit Haxo, Dusty, Eyzon, ceci explique cela). Le Champcheny s’envole en blindant un 58 standard (pas de retour à 2,30 + 1 raté fossé), redresse la barre en un minuscule -2 sur l’OB et percute férocement l’HA d’un rappel à 4 mètres. Mister Vandrebecq domine son sujet et nous pouvons affirmer que la déf de Stef ne manque pas de perf, explications : |
APACHE – THE SHADOW |
On quitte le monde fascinant de Champcheny City, pour une virée à Calvaire Land. J-M Lecerf n’a pas fait dans la dentelle de Malines et comme à l’accoutumée « les actions de la firme Arnica vont grimper en flèche » ; mais avant, Apache et l’ami Pierrot vont nous jouer un drôle d’air : 58 (1 raté haie-fossé au max), 2 écarts à la suite et basta. Le petit bolide se campe dans les starting-blocks, déboule Mach2, quand brusquement, un gigantesque coup de sifflet ébrèche mon tympan gauche et la voûte de la tribune Nord ! Remarque, il fallait bien ça pour stopper son missile sur pattes… on le sait, sur ce type d’origines, il y a une accélération franche dans les derniers mètres (allant jusqu’à magnétiser les descendants du ptit taureau en une toile goulue), donc : 5 mètres et percute, l’artiste balise sa piste ! Remonté à donf, l’élève de la Dream-FoucaulTeam semble fin prêt à gloutonner quelques rotules, il n’en fallait pas plus à un Greg ravi d’essayer sa nouvelle formule et sur la fin de « l’approche agression » ça paye. Apache se décale légèrement, l’HA en profite illico et pousse sur un tarde à défendre, soit 26 chèrement gagné. L’enchaînement GAF-Recherche sera également à souligner : d’entrée de jeu, Andrej se fait dévorer (dur dur à passer ce genre d’esquive), idem sur les fuites, le gaillard est bien mis, vigilant et méga passionné à un point tel qu’il va se pénaliser tout seul (cd & reprise). L’équipe n’a pas dû s’amuser tous les jours, mais quel cabot : 29 de fuyante, 3 sorties de valise bien franches dont « une » sublimement négociée par Greg en un placement de jambes digne des Folies Bergères. Il arrivera à saisir l’anse dans l’action, mais sera rattrapé en une micro seconde par le masqué de P-Y Secretain, suivie d’un bis répétita sur la face, soit 29. L’Eure est à la fête, les cornes de brume et autres « boites à boucan » ont mis les curseurs dans le rouge et l’ovation fut proportionnelle à l’émotion d’un circuit soutenu, bien mené et très chaud, merci les gars ! Nota : Démonstration constante d’un dressage pointilleux avec mise en place au fossé tactique, conduite à droite technique entérinée d’un visuel particulièrement professionnel. En résumé, du beau boulot ! Après avoir badigeonné (par 2 fois) mes tympans à la bétadine, ouf… Timberland ramène le calme. Par chez nous, beaucoup adorent ce fils de Primo et les cynos de régionales diverses vont enfin le découvrir : 59 de sauts avec des pattes étendues à la haie comme on les aime, confirmés d’un plat rustique et relativement bien exécuté jusqu'au rapport au vu. Aïe, emmêlement de pinceaux avec un « reste au pied » guère folichon, bilan des courses 8 points en vrac, 2 positions à l’ouest et un épandage de broutilles aux suites. Pas de quoi attaquer la fausse en pleine sérénité, heureusement que Gilbert a la Zenitude et rien ne vaut un bon « 4,50 » sans risque, un ptit tarde sur la déf, une garde au ferme trèèèès sympathique, une recherche avec un TAL (en sortie de cache) suivie du traditionnel métrage « 3-2-4 » imposé par l’adresse d’un Andrej déterminé à prendre des pions et nous allions frapper dans nos mimines (comme des gros malades) quand patatra, voici la valoche qui taloche… pourtant, le Calvaire est fort, il ne laisse rien ni personne approcher. Son esprit combatif va embrouiller Greg qui ne cède pas un pouce de terrain « 1ère et 2ème passe superbe » et puis, comment a fait ce diable d’HA pour lui taxer ? Hein comment ? En tous cas, beau match, sans oublier les 2 x 30 aux bâtons et la prise qui tue, parce que le bien nommé Timberland mord comme si sa vie en dépendait, houlà la, c’te brute ! |
SANS CHEMISE, SANS PROTECTION ! |
Tiens, puisque l’on en parle pénètre Us’Ton. A vide, Marc Villain se fait remonter les bretelles, mouais et moi qui pensait bêtement que la finale était synonyme de fête ? Pas de quoi débuter dans l’allégresse et comme d’hab, un fossé à refaire, Marco connaît son zouave et avec ce type de phénomène « ça passe quand ça casse », donc 58 points, j’achète. NOTA : Pour les maniaques qui vont analyser le DVD, regardez l’escorte et le passage où Us’Ton va chercher Andrej au bras et bien évidemment la face. Je n’en suis pas encore revenu. Mais que vois-je ? Ai-je une hallucination ? Bon sang non, c’est bien un Tervur. Etiqueté Musher, Usko respire la joie de vivre : les sauts sont à la nounours et vas-y que je grignote au fossé, normal, c’est une marque déposée à l’identique de l’OB. Un poilu qui ne s’écarte pas un chouia et qui ne mâchonne pas en remuant la queuqueue, n’est pas un vrai Tervur. La suite par contre, fleure bon la castagne « une arrêtée à 4 mètres et une défense à 30 » posent les jalons. Une GAF enchevêtrée sur la dernière fuite et surtout un accompagnement nerveux puisent dans son capital (TAD, 4,4 & 3 mètres). Certes, le kiki du Fabrissou est chaud, il se paye même le luxe de planter Greg en 2 secondes de tarde sur la fuyante. Mais, la valise va être d’un autre monde : 1ère approche classique, seconde nettement plus calculée et le déplacement d’objet va décontenancer le berger belge qui partira en totale sucette, pas grave, ça arrive aux meilleurs. La preuve, la clôture sera dantesque ou ne sera pas… soit la formule magique : bon chien, bon maître et éleveur top = tiercé gagnant ! |
CŒUR DE PIRATE ! |
Ce soir nous irons festoyer avec les dieux nordiques et d’un Viking à Thor en passant par un Croco-Tayzone-Dog sorti de l’écume d’un retour de Varec, je dis : camarade en costume, enfile quand même un String-coquille… Décidément cette finale affiche complet, mais qu’entends-je ? Un brouhaha indéfinissable envahit le Stadium, Aimé Sauvage fait son apparition et le moins que l’on puisse dire : c’est qu’il a des fans ! Parfaitement escorté d’une armée de Pom Pom Girls, il s’installera sur l’estrade pour un spitch des plus élogieux.
Stéphane Chevalier a passé le flambeau à Ronan Raoult, c’est donc à lui que revient la lourde tache de driver Varec du Domaine de la Rochelière. Sauts impeccables, quelques bidouilles sur l’OB (crochet, change de position aux appâts) et « horreur malheur » pas de rapport lancé… Ce sont des choses qui arrivent et il faut récupérer ce retard immédiatement : fausse sifflée à 4,50m (un peu loin) entérinée d’une défense aux fraises (ne défend pas, Greg l’a hyper bien joué), si c’est définitivement foutu pour le titre, la suite démontre un athlète bien mis avec en prime une belle bagarre pour la survie de l’objet et surtout 2 bâtons à 30. Va suivre, l’un des moments forts de ce Championnat, en effet : le fameux Tayzone du Calvaire aux Acacias va enchanter l’édifice. Quelle prestance et quel style, ce type de Malinois fait toujours plaisir et lui aussi compte une armada d’aficionados. Cependant, les sauts sont minimisés à 55, qu’importe, le plat remet les compteurs à Z et nous voilà partis pour une arrêtée sponsorisée par Tronço-mag. Dominique gère son phénomène à 5 mètres, le replace pour une défense qui va peser une tonne sur chaque épaule de ses fans. Soyons clair, avec un moins 30, tu regardes le paysage autrement ? Chers amis, si l’ingratitude est un gain de temps, il faut bien repartir au charbon et ce n’est plus à la notation que l’on voit le champion, mais à son désir de transformer l’essai, bonne pioche ! Une garde au ferme au tractopelle allait nous clouer sur place, tout y est : Entrée, vitesse et frappe chirurgicale. Tayzone bombarde sévèrement et seul un excès de zèle va lui bouffer 3 m. Idem sur une escorte anthologique où Andrej sort le grand jeu (reprise, métrage et coup de dents soit, la totale), chapeau Msieur S’Khra, car le loustic impose vraiment le respect. La preuve, une fuyante dévorée, un panier maîtrisé et une face où le terme « poussé-calé » prend un large sens. Big-Tayz plus applaudi que jamais, ressort comme il est rentré : acclamé debout ! Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs, au tiers de cette épreuve ; le père supérieur s’appelle Marco. Alors, pas de Boogie Woogie avant d’avoir tourné la page. |
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